Revue media des sorties : Les Amants Passagers, La Cité rose, Guerrière, Dead man talking
Bonjour à tous
Cette semaine est riche en « nombre de sorties » mais les media ne sont pas aussi prolixes en commentaires que d’habitude; à l’exception peut être du dernier film de Pedro Almodovar.
Pour cette première revue 4 films seront à l’honneur:
– Les Amants Passagers,
– La Cité rose,
– Guerrière,
– Dead man talking.
Sans oublier les films dont on parle encore La Religieuse, Le Monde fantastique d’Oz, Les Coquillettes, Jappeloup, 40 ans : mode d’emploi, Die Hard ou plutôt Bruce Willis dont vous retrouver la revue media dans la page leur étant consacrée
Les Amants passagers
VivaLaCinema.net – par Claire Faverial
émission du mercredi 27 mars 2013
VivaLaCinema a vu le dernier film de Pedro Almodovar. Claire l’a trouvé « loufoque et déjanté ». Elle nous explique pourquoi dans sa chronique « audio ».
… Les Amants passagers n’échappent pas à cette règle du loufoque déjanté, mais permet à Pedro Almodovar de s’amuser comme un fou avec ses personnages en huis clos, même si cette comédie est plus légère et moins incisive que d’autres films de son cru.
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Viva la movida des années 2000, du kitsch, des couleurs saturées, des homos libérés prenant le pouvoir pour le meilleur et pour le rire. Chaque personnage est pétillant et poussé à l’extrême même si l’on évite les clichés, le réalisateur étant d’une trop grande finesse pour cela.
Le parallèle avec l’Espagne en proie à une crise majeure et aux frontières de la catastrophe est bien senti.
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C’était sympathique, mais mineur dans le talent de ce Monsieur.
Blanca Li : “’Les Amants passagers’, c’est notre Pedro Almodóvar de toujours”
Telerama.fr – propos recueillis par Frédéric Strauss
publiés le mardi 26 mars 2013
En parlant de Pedro Almodovar
Pour Les Amants passagers, il m’a appelé et il m’a dit : « J’ai envie de ça, de ça et de ça », et j’ai tout de suite compris ce qu’il voulait. J’ai travaillé avec ses acteurs pour lui présenter une chorégraphie. Quand il est revenu, les pauvres comédiens étaient à moitié morts mais ce qu’on avait travaillé a beaucoup plu à Pedro, ce qui n’était pas donné d’avance, et on a pu continuer sur notre lancée ! Je n’avais jamais fait une chorégraphie pour l’intérieur d’un avion, mais comme je voyage beaucoup, j’ai eu l’occasion d’étudier toutes les possibilités d’utiliser les allées, les sièges, le sol, les cloisons.
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puis de Michel Gondry un peu plus loin dans l’article
Michel demande toujours des choses impossibles et il faut les rendre possibles. Il invente des choses et on doit inventer avec lui. Il ne s’agit pas seulement de caler une chorégraphie, c’est comme participer à une atmosphère.
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Les amants passagers: Le film le plus « gay » d’Almodovar?
LesInRocks.com (TV) – par Jean-Baptiste Morain
émission du mardi 26 mars 2013
Cela faisait bien longtemps qu’Almodovar n’avait pas réalisé une comédie. Cela ne déplaît pas à notre critique Jean-Baptiste Morain, pour qui ce film est une sorte de parenthèse divertissante dans la filmographie du cinéaste espagnol.
EXCLU VIDEO – Pedro Almodovar en 3 vidéos
Premiere.fr – entretien conduit par Varina Arrighi de Casanova
émission du mardi 26 mars 2013
« Si j’avais montré plus de sexe, Les Amants passagers aurait été un film porno »
« Je suis un cauchemar pour les acteurs »
Penélope Cruz et Antonio Banderas, le duo magique d’Almodovar
Rencontre avec Pedro Almodovar pour le film LES AMANTS PASSAGERS
Canal + Rencontre de cinéma – animé par Laurent Weil
émission du samedi 23 mars 2013
LA CITÉ ROSE
Avoir-Alire.com – par Frédéric Mignard
… La Cité Rose est une oeuvre emballante qui au final réfute le pessimisme plombant de La Haine de Kassovitz ou de Ill Manors, la cité de la violence de Ben Drew. Julien Abraham équilibre les points de vue, entre fatalisme et vision angélique d’un lieu réellement destructeur, et propose une œuvre courageuse qui saura redonner aux Français l’envie de réinvestir les grandes cités tant redoutées pour mieux les comprendre.
face au film : La Cité rose
Ciné + – Face au film – animé par Pierre Zeni
émission du vendredi 22 mars 2013
«La Cité Rose» : une cité à croquer
Next.Liberation.fr – par Alice Géraud et Rachid Laïreche
publié le mardi 26 mars 2013
Pour une avant première à Saint-Denis
Dans la salle de Saint-Denis, les regards et les éloges se concentrent vers celui qui crève l’écran. L’acteur principal, Azize Abdoulaye Diabate alias Mitraillette. Yeux grands ouverts, le gamin ne sait pas quoi faire de ses mains. Elles entrent et sortent de ses poches. Un pas en avant. Un autre en arrière. Recherche de regards complices puis c’est au tour des cordons de son sweat à capuche de profiter de sa dextérité de harpiste.
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Azize Abdoulaye Diabate pose sous les flashs, avec son sourire ravageur qui masque sa gêne, avant de rentrer chez lui. Direction Pierrefitte-sur-Seine et sa cité rose…
Guerrière
VivaLaCinema.net – par Claire Faverial
émission du mercredi 27 mars 2013
VivaLaCinema a vu « Guerrière » de David Wnendt. Claire n’a pas été totalement convaincue.
Si les intentions de ce réalisateur sont louables (en Europe la recrudescence et le passage à l’acte de ces mouvements deviennent de plus en plus fréquents) les choix filmographiques sont aussi pesants que le thème du film.
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Outre le thème et le sujet qui est bien exploité, la transformation de l’héroïne, ses doutes sont moins bien pondérés.
Tous les personnages sont justes, mais cela n’en fait pas une grande histoire, on est davantage dans le cadre d’un docu-fiction.
« Guerrière » : « Les néonazies vivent une immense contradiction »
La-Croix.com – par Corinne Renou-Nativel
le mardi 26 mars 2013
Le cinéaste s’intéresse plus particulièrement aux femmes, de plus en plus actives, comme Marisa volontiers violente, alors que ces mouvances misogynes ne leur accordent guère que deux rôles : objets sexuels ou mères confinées au foyer. Sans remettre en question l’idéologie à laquelle elle est attachée depuis l’enfance, Marisa entrevoit la place qui lui est assignée.
« Guerrière » : « Les néonazies vivent une immense contradiction »
Rue89.com – par David Doucet
mardi 26 mars 2013
David Doucet n’est pas complètement séduit
Sorti de l’intéressante perspective féminine donnée au sujet, David Wnendt, dont c’est le premier film, ne fait qu’effleurer la montée du racisme en Europe.
« Guerrière » : « Les néonazies vivent une immense contradiction »
Rue89.com – propos recueillis par Olivier De Bruyn
le mercredi 27 mars 2013
Entretien avec le réalisateur qui donne son éclairage et sa méthodologie pour mener à bien ce film
Rue 89 : Comment est né le projet de « Guerrière » ?
David Wnendt : A la sortie de mon école de cinéma, à Babelsberg, je devais imaginer un film de fin d’études. Ce projet est devenu mon premier long métrage.
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Avez-vous enquêté dans les groupes néonazis avant d’écrire le scénario ?
Oui, c’était indispensable. Pendant trois ans, j’ai infiltré ces groupes, participé à leurs réunions et à leurs manifestations. J’ai également interviewé de nombreuses jeunes femmes engagées dans leurs rangs.
face à l’invité : François Berléan
Ciné + – Face à l’invité – animé par Pierre Zeni
émission du samedi 23 mars 2013
« Dead man talking », téléréalité du condamné
La-Croix.com – par Arnaud Schwartz
publié le mercredi 27 mars 2013
Arnaud Schwartz n’est pas convaincu. Il suffit de lire sa conclusion
L’idée de mêler peine capitale et obstruction par la parole, vérité ultime d’un homme et voyeurisme de la téléréalité pouvait potentiellement aboutir à d’intéressants développements. Hélas, cette fable terrifiante à l’esthétique assez malsaine, nourrie de multiples références au cinéma de genre anglo-saxon, est loin de parvenir à ce niveau de finesse.
À samedi
Thierry Coulmain
30 mars 2013
27 mars 2013
Spring breakers – Au bout du conte – no – Möbius – Elefante-bianco – Syngué Sabour – …
… Cloud Atlas – Camille Claudel 1915 – … – 20 ans d’écart – … – la poussière du temps – des morceaux de moi – les Misérables – Turf – Hôtel Transylvanie – Antiviral Good by Morocco – Flight …
