Cannes 2014 · Films & media · thriller
Captives d’Atom Egoyan – Sélection Cannes 2014 – Entre huées et inconditionnels
Synopsis
8 ans après la disparition de Cassandra, quelques indices troublant semblent indiquer qu’elle est toujours vivante.
La police, ses parents et Cassandra elle-même, vont essayer d’élucider le mystère de sa disparition.
*** Plus d’information sur la sélection cannoise 2014 http://www.vivalacinema.net/films-en-competition-cannes-2014-conference-de-presse/ ***
Extrait
« Captives » ne fait pas l’unanimité
Ici 2 « pour » et 2 « contre »
REVIEW – Captives : Atom Egoyan livre un Prisoners puissance 25
Premiere.fr – par Stéphanie Lamome
publié le vendredi 16 mai 2014
C’est net et précis pour Stéphanie Lamome :
Bon, clairement, on n’attendait plus grand chose d’Atom Egoyan, surtout depuis son remake pseudo lesbiano-vénéneux de Nathalie d’Anne Fontaine rebaptisé pour la mauvaise occasion Chloe. On avait tort. Avec Captives, le réalisateur nous pond un thriller façon Prisoners – de son comparse canadien Denis Villeneuve -, mais puissance 25 dans l’efficacité qui colle au siège.
Cannes 2014 – « Captives », le puzzle brillant d’Atom Egoyan
metronews.fr – par Jérôme Vermelin
publié le vendredi 16 mai 2014
Avec « Captives », en lice pour la Palme d’Or, le cinéaste canadien Atom Egoyan construit un thriller à tiroirs, où la résolution de l’intrigue est moins passionnante que les tourments affectifs de ses acteurs.
« Captives » : le film « ne mérite pas d’être en compétition » à Cannes
RTL – par Stéphane Boudsocq
publié le vendredi 16 mai 2014
Stéphane Boudsocq, estime que ce n’est qu’un « bon thriller du dimanche soir sur TF1 »
Cannes 2014 : Captives d’Atom Egoyan ne capte rien
LeFigaro.fr – par Olivier Delcroix
publié le vendredi 16 mai 2014
Olivier Delcroix ne croit plus au réalisateur de « De beaux lendemains »
Egoyan agence intelligemment son intrigue sur fond de pédophilie et de vidéosurveillance. Les repères temporels s’effacent sous les flocons. Des séquences se suivent, entraînant d’abord chez le spectateur une sensation de flottement assez troublante.
…/…
Le véritable problème deCaptives, c’est qu’il accumule les parallèles avec Prisoners(2013) signé par son compatriote Denis Villeneuve
…/…
Si la neige de Prisoners nous gelait jusqu’aux os, celle deCaptives ne fait que nous anesthésier dans un cocon de faux-semblants assez lassant.