* Disponible en DVD Blu-ray et VOD · Drame · DVD · DVD Octobre 2013 · Films & media
Diaz – Un crime d’État de Daniele Vicari – En DVD et VOD
Synopsis
En 2001, pendant la dernière journée du G8 de Gênes, quelques instants avant minuit, plus de 300 officiers prennent d’assaut l’école Diaz, à la recherche des militants du Black Bloc. Dans l’établissement, se trouvent 90 activistes, dont la plupart sont des étudiants européens accompagnés de quelques journalistes étrangers, qui s’apprêtent à passer la nuit à même le sol de l’école. Alors que les forces de l’ordre font irruption, les jeunes manifestants lèvent les mains pour se rendre. Imperturbables et implacables, les policiers se livrent à des exactions préméditées d’une violence inouïe, frappant indifféremment jeunes et vieux, hommes et femmes.
 
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Entretien avec Daniele Vicari pour Diaz : un crime d’état
France Inter – Cosmopolitaine – animé par Paula Jacques
émission du dimanche 9 juin 2013
Début de l’entretien : 31’15 »
« Diaz » : Haro sur la démocratie italienne
CinéObs (cinema.nouvelobs.com) – propos recueillis par Marie-Elisabeth Rouchy
publiés le mercredi 5 juin 2013
La violence des policiers est effrayante.
Elle l’était encore infiniment plus dans la réalité. Je me suis volontairement astreint à une mise en scène assez froide. Pour ne pas courir le risque de la complaisance.
Diaz, socialisme ou barbarie
Regards.fr – de Thomas Bauder
publié le mercredi 5 juin 2013
C’est clair et concis
Un film en colère qui dénonce, à travers la brutalité insoutenable des agents d’Etat, la prégnance du passé fasciste de l’Italie contemporaine. A voir de toute urgence.
« Diaz, un crime d’État » : retour sur l’assaut policier de Gênes
La-Croix.com – de Corinne Renou-Nativel
publié le mercredi 5 juin 2013
Daniele Vicari a le talent de restituer la complexité des faits. À plusieurs reprises, il part d’une minuscule scène – le vol au ralenti d’une bouteille lancée par les manifestants qui se pulvérise en de nombreux morceaux – pour décliner les points de vue sur les heures qui suivent.
…/…
Utile, Diaz rappelle avec force ces exactions hors norme pour lesquelles, bientôt douze ans après, les jugements définitifs n’ont toujours pas été prononcés.
Diaz – Un crime d’État
LesInRocks.com – de Jean-Marie Durand
publié le mardi 4 juin 2013
La grammaire de la fiction, indexée ici sur des personnages minimalistes, égarés dans la tragédie d’une nuit d’épouvante, s’inspire des codes documentaires.
…/…
La tension d’une intimidation basculant dans la brutalité aveugle, héritière du fascisme italien, habite le film, pièce à conviction d’une critique salutaire des forces de l’ordre, de l’ordre de la force.
Diaz – Un crime d’état: l’implacable mécanique de la répression
LeFigaro.fr – de Philippe Gelie
publié le mardi 4 juin 2013
Diaz, un crime d’État de Daniele Vicari revient sur ces événements – un mort, un millier de blessés, quelque 25 millions d’euros de dégâts – avec un réalisme digne des morceaux de bravoure du cinéma politique des années 1970.
G8 de Gênes, douze ans après : histoire d’un déchaînement policier
Rue89.com – de Camille Polloni
publié le mardi 4 juin 2013
Le basculement du film dans un tunnel de coups de matraque et d’arbitraire tranche avec sa délicatesse initiale, quand il s’agit de poser le décor.
…/…
Douze ans après, le G8 de Gênes reste un moment marquant dans l’histoire récente de l’Italie. Pour Daniele Vicari, l’épisode constituait « un véritable conflit », malgré les tentatives de « le refouler ».
