La dernière fois que j’ai vu « Macao »

Synopsis

Trente ans plus tard, je me rends à Macao où je ne suis jamais revenu depuis mon enfance. J’ai reçu un mail à Lisbonne de Candy, une amie dont je n’avais plus de nouvelles depuis longtemps. Elle disait s’être encore aventurée avec les mauvais garçons et elle me priait de venir à Macao où se passaient des choses effrayantes, selon ses propres mots.
Fatigué, après des heures de vol, j’approche de Macao à bord du ferry qui me fera remonter le temps, jusqu’à la période la plus heureuse de ma vie.

«Reconstruire la ville en salle de montage»

Next.Liberation.fr – propos recueillis par Julien Gester
publiés le mardi 28 mai 2013
 
entretien avec João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata

Quelle histoire avez-vous l’un et l’autre avec Macao ?

J.R.G.M. : J’y suis arrivé avec mes parents à l’âge de sept ans, et c’était un incroyable nouveau monde à découvrir pour moi, en tant qu’enfant. Nous y sommes restés cinq ans, et ce sont sans doute les années les plus joyeuses de ma vie.

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J.P.R. : Contrairement à João Rui, je n’ai pas d’histoire avec Macao, sinon les récits qu’a pu me faire João Rui de son enfance là-bas, des histoires d’aventure, d’insectes gigantesques, de film d’aventure années 30.

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Bal de spectres à «Macao»

Next.Liberation.fr – par Julien Gester
publié le mardi 28 mai 2013

l… la Dernière Fois que j’ai vu Macao, son ectoplasmique trame de série B, son bestiaire étrange et son entrelacs glacé de réminiscences, achèvent de désigner les cinéastes lisboètes comme ceux qui, aujourd’hui mieux que quiconque, savent trouver la forme la plus juste à leurs fictions pour conter cette époque présente qu’hante la persistance de nos souvenirs play-back.

 
dans le même registre que l’article de Libération
 

“La Dernière fois que j’ai vu Macao”, une saudade désenvoûtée

LesInRocks.com – par Luc Chessel
publié le mardi 28 mai 2013

La dernière fois que j’ai vu Macao se jette en avant en caméra légère, cherche dans un monde d’images les signes d’une beauté nouvelle, ramasse dans les ruines des projectiles pour les lancer à travers l’écran, conspire contre la nostalgie voûtée pour une saudade désenvoûtée.

LA DERNIÈRE FOIS QUE J’AI VU MACAO – LA CRITIQUE
L’éclipse

Avoir-ALire.com – par Virgile Dumez
le mardi 28 mai 2013

Cette œuvre expérimentale difficile d’accès finit par susciter l’intérêt grâce à une ambiance pesante à la lisière du fantastique. Pour aventuriers du septième art.