Only God Forgives à Cannes
La presse en parle
Frédéric Strauss, Louis Guichard (Télérama); Isabelle Regnier, Jacques Mandelbaum, Thomas Sotinel et Olivier Clairouin (LeMonde.fr), Maxime Pargaud, Olivier Delcroix (LeFigaro.fr), Gérard Lefort (Liberation.fr), Fabrice Leclerc (Studio Ciné Live), Eric Libiot (LEXPRESS.fr), Serge Kaganski LesInRocks.com
Film franco-danois réalisé par Nicolas Winding Refn
avec Ryan Gosling, Kristin Scott Thomas, Vithaya Pansringarm.
À Bangkok, Julian, qui a fui la justice américaine, dirige un club de boxe thaïlandaise servant de couverture à son trafic de drogue.
Sa mère, chef d’une vaste organisation criminelle, débarque des Etats-Unis afin de rapatrier le corps de son fils préféré, Billy : le frère de Julian vient en effet de se faire tuer pour avoir sauvagement massacré une jeune prostituée. Ivre de rage et de vengeance, elle exige de Julian la tête des meurtriers.
Julian devra alors affronter Chang, un étrange policier à la retraite, adulé par les autres flics …
Bandes Annonce
source distributeur (http://www.le-pacte.com/)
Nicolas Winding Refn : “Dans ‘Only God Forgives’, il ne s’agit pas de comprendre, il s’agit de croire”
Télérama – propos recueillis par Frédéric Strauss
publié le mercredi 22 mai 2013
Quel est ce Dieu dont parle Only God Forgives ?
C’est un dieu un peu comme celui de l’ancien Testament, il peut être bon comme il peut être démoniaque. L’idée du film était de faire se rencontrer un type qui se prend pour Dieu et un type qui cherche une religion, une croyance. Ce qui permettait à ces deux hommes d’être réunis, c’était le personnage de la mère. Voilà la structure de départ que j’avais pour lancer l’écriture scénario.
“Only God forgives”, avec Ryan Gosling : et Nicolas Winding Refn créa la psychanalyse sanglante
Télérama – par Louis Guichard
publié le mercredi 22 mai 2013
Ce gore n’est pas pour déplaire à Louis Guichard
Beaucoup d’araignées et de petits vélos, donc, dans l’inconscient à ciel ouvert du bouillonnant cinéaste néogore. Mais c’est passionnant à observer, vu la sophistication de l’expression et le plaisir masochiste, communicatif, des acteurs. Heureusement que tous les films ne visent pas la justesse psychologique, le naturel et le réalisme ! Celui-ci est plutôt un étrange feu d’artifice au ralenti …
« Only God Forgives » : coups de bahts à Cannes
LeMonde.fr – par Isabelle Regnier, Jacques Mandelbaum et Olivier Clairouin
émission du mercredi 22 mai 2013
les critiques du monde sont partagés mais surtout …
Un scénario chétif mais une prouesse esthétique, quitte à s’aliéner une partie du public.
"Only God Forgives" : coups de bahts à Cannes par lemondefr
« Ma vie avec Liberace » : pattes d’éph’, cocaïne et mariage gay
LeMonde.fr – par Thomas Sotinel, Isabelle Regnier et Olivier Clairouin
émission du mardi 21 mai 2013
Le Monde aurait il la dent (trop) dure ?
"Ma vie avec Liberace" : pattes d'éph', cocaïne… par lemondefr
Nicolas Winding Refn, le «pornographe» d’Only God Forgives
LeFigaro.fr – Le Clap – par Maxime Pargaud, Olivier Delcroix
émission du jeudi 23 mai 2013
La mise en scène de Nicolas Winding Refn, très esthétisante et inhospitalière, évoque Shining, de Stanley Kubrick. L’extrême violence? Un désir totalement assumé du cinéaste «Quand vous êtes un pornographe comme moi, votre approche ne peut être que psychanalytique.
«Only God Forgives»: œdipe end
Next.Liberation.fr – par Gérard Lefort
publié le mercredi 22 mai 2013
Ce sont deux palmes pour Ryan…
C’est quoi ce cirque ? Le cirque, justement, mais au sens romain du terme, un jeu de massacres volontairement outrés où le chien enragé qui filme se ferait toutes les quilles. Et alors ? Ryan Gosling dans le rôle de Julian, le petit frère cabossé ? Pour faire sobre, disons qu’il est le plus grand acteur de tous les temps de la galaxie du monde.
Alejandro Jodorowsky et Nicolas Winding Refn: pairs sur la ville
Next.Liberation.fr – par La Rédaction
publié le mardi 21 mai 2013
Alejandro Jodorowsky et Nicolas Winding Refn. Le maître franco-chilien, pape de l’underground, passe le relais à son élève danois, dynamiteur d’Hollywood
Cannes: Kristin Scott Thomas sur les marches pour Only God Forgives
LEXPRESS.fr d’ AFP
publié le mardi 21 mai 2013
People et sourires
faut’il aller voir « Only God Forgives »
LEXPRESS.fr – par Fabrice Leclerc (Studio Ciné Live) et Eric Libiot (LEXPRESS.fr)
émission du mardi 21 mai 2013
La réponse :
Only God Forgives: « Grosse, grosse déception »
“Only God Forgives” : un film d’une noirceur prégnante et séduisante
LesInRocks.com – par Serge Kaganski
le mardi 21 mai 2013
Mais si l’histoire est mince, la mise en scène de Refn est ébouriffante. Le cinéaste danois a déniché les bars
les plus cinégéniques de Bangkok, les décors les plus saillants, éclairés selon un système de pénombres et de néons qui excite sans arrêt le regard, le tout rehaussé par une prise de son exceptionnelle qui met en valeur aussi bien les nappes de synthés de la BO que le moindre dialogue.