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Sous Surveillance, thriller politique J – 40 ans – En DVD, Blu-Ray et VOD
Synopsis
En 1969, un groupe de militants radicaux appelés Weather Underground revendique une vague d’attentats aux Etats-Unis pour protester contre la guerre du Vietnam.
La plupart de ses membres furent emprisonnés, mais quelques-uns disparurent sans laisser de trace… Jusqu’à aujourd’hui.
L’arrestation de Sharon Solarz, l’une des activistes, remet cette affaire sur le devant de la scène, au point d’attiser la curiosité du jeune et ambitieux reporter Ben Schulberg. Jouant de ses relations au FBI, il rassemble petit à petit les pièces du puzzle, le menant jusqu’à Jim Grant, un avocat apparemment sans histoires… Lorsque celui-ci disparait brusquement, le journaliste se lance sur sa piste, déterminé à le retrouver avant le FBI.
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Robert redford
France inter – le 7/9 – propos recueillis par Eva Bettan
publiés le mercredi 8 mai 2013
Robert Redford: «Hollywood n’existe plus»
LeFigaro.fr – Le Clap – entretien conduit par Emmanuèle Frois
émission du mardi 7 mai 2013
LE FIGARO. – Pourquoi vous êtes vous intéressé au Weather Underground, ce mouvement de la gauche radicale de la fin des années 1960?
Robert REDFORD. – J’avais le même âge que ces jeunes gens qui protestaient contre la guerre du Vietnam. Je pensais que c’était une mauvaise guerre et que nous n’avions aucune raison d’aller là-bas. Sans être un militant, je trouvais leur cause juste. Mais à partir du moment où ils n’ont pas réussi à faire entendre leur voix, ils se sont radicalisés en utilisant la violence et le terrorisme. Lorsque c’est arrivé, j’ai senti que c’était le début de la fin. J’avais envie de faire un film sur les conséquences des choix faits au début de sa vie et le prix à payer le reste de son existence.
Faut-il aller voir Sous surveillance ?
LEXPRESS.fr – par Fabrice Leclerc (Studio Ciné Live) et Eric Libiot (LEXPRESS.fr)
émissions du mardi 7 mai 2013
Fabrice Leclerc n’est pas totalement convaincu mais son complice est beaucoup mois froid
« Sous surveillance », retour désabusé sur une jeunesse contestataire
La-Croix.com – par Arnaud Schwartz
publié le lundi 6 mai 2013
Les comédiens dont le réalisateur a su s’entourer ne sont pas pour rien dans la réussite du film : Susan Sarandon, Julie Christie, Nick Nolte et Richard Jenkins, dans des seconds rôles bien écrits, forment une arrière-garde convaincante et contribuent à fixer une juste distance entre mélancolie et responsabilité face au passé.
Robert Redford : “Ce qui m’intéresse, c’est de montrer tout ce qui empêche l’individu de se sentir libre”
Télérama – propos recueillis par Frédéric Strauss
publiés le samedi 27 avril 2013
Entretien avec Robert Redford : Frédéric Strauss revient sur son engagement…
Dans Sous surveillance, vous semblez prendre acte de la fin des utopies en politique…
Ça me fascine. Notre histoire est pleine de mouvements se battant contre l’ordre établi. Mais ces mouvements se sont toujours épuisés avant d’avoir pu triompher. Que ce soit les anarchistes des années 20 ou le tout récent Occupy Wall Street. Dans les années 60, le Weather Underground promettait beaucoup.